Je crois
Je n’en suis pas sûre,
Que ce doit être simple et incroyablement rassurant
De dire,
« Je suis d’ici. Ici je suis née et je vis. C’est ici chez moi…. » Enfin, ce genre de phrase qui donnent une base….
Moi, je ne sais jamais quand je reviens chez moi ou quand je pars ….
Je ne sais pas si c’est mieux ainsi. J’ai plusieurs ports.
Qu’est-ce qui compte ? Le nombre d’années vécues quelque part? Ou tout autre chose….
chez moi… chez soi… je crois que notre maison est en nous… où que nous soyons… où que nous allions… notre cheminement est le plus important… bien avant notre naissance… merci pour ce partage Marie… belle soirée
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Encore comme Moonath 🙂
Bien que les racines soient importantes, ne sommes nous pas tous citoyens du monde ?
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le temps n’est rien, l’intensité des souvenirs d’un lieu est bien plus importante
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Oui, c’est tout à fait juste
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Le lieu n’a pas d’importance, le principal n’est-il pas de se trouver bien là où nous sommes au moment présent ? !
Belle journée Bleuemarie !
Bisous bisous
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peu importe le lieu le tout est de se sentir bien
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Bonjour Marie. Le « tout autre chose », c’est, je crois, le roman de sa vie. Car une vie, pour moi, est un roman. Et en fait, ces oeuvres sont souvent belles…
La photo me plaît beaucoup. Elle me rappelle une scène du « Hussard sur le toit », celle avec le chat…Mais il y a aussi cette chose irremplaçable, la lumière du sud. Chez moi, que la lumière est blanche et les ombres dures!…Il faut s’accrocher, comme en Scandinavie.
Amitiés. Hervé
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Oui, ce toit, c’est celui de ma maison :-), et tu as raison, si je ne me trompe, l’action du « hussard » se passe à Manosque, pas très très loin de là, la même lumière, les mêmes tuiles.
J’aime aussi la lumière du Nord, plus blanche, je ne vois pas les choses comme toi, j’y trouve les ombres plus douces, moins contrastées.
Bien amicalement
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Marie tu me parles de Manosque. Mon père y a vécu lorsqu’il était le scénariste de Giono. Il a publié « Hortense ou l’Eau vive ». On le trouve encore en Poche. Bon séjours là bas et bonnes créations. Pour la lumière je pensais à certaines couleurs chaudes de Van Gogh…
Amitiés
Hervé
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J’aime ces correspondances quasi baudelairiennes que permettent les blogs 😊
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Moi aussi, Marie.
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Excellente question, Marie! Étant jeune, je me posais la question, parce que pour moi la demeure, le lieu où était important, c’est à cet endroit que mes racines s’enracinaient. Encore aujourd’hui, d’ailleurs. J’ai besoin de me sentir chez moi, à l’aise dans mon petit cocon. Connecter avec mon environnement.
Bisous
Anne xx
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Pour moi, les racines sont avant tout celles de la langues. Là ou l’on parle français, je me sens chez moi. Mais ce n’est pas si simple, j’habite en région alémanique, et pourtant, là aussi c’est chez moi puisque j’y vis depuis 30 années…..
Amitiés
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La notion de « chez-soi » n’est donc pas si évidente… Si je m’interroge, je trouve le souvenir de l’endroit où j’ai passé mon enfance, une région pas très jolie en plein pays minier dans le Pas-de-Calais. Je l’ai quittée pour travailler à Paris ensuite et n’y suis plus retournée depuis longtemps, n’y ayant plus personne. Depuis 10 ans, je passe la moitié du temps en Bretagne et l’autre moitié en Ile de France. Bon, cela ne va pas bien loin tout ça, ça reste en France. Je dirai donc que chez moi, c’est en France. 😉
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Lorsque les souvenirs refont surface, on se sent bien et surtout lorsque l’on a créé son petit cocon.
J’aime beaucoup les toits de ta maison, la lumière est si belle.
Bisous, Marie 🙂
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