c’était quand déjà ?
Nous nous étions trouvés
Du moins nous l’avions cru….
Nous nous sommes perdu puis retrouvés encore
Puis
D’habitudes en habitudes
Nous avons certainement
Égaré les cartes qui montraient le chemin
Et nos risibles certitudes ont fait le reste,
Nous nous sommes éloignés
Flottants au gré des jours
C’était quand déjà
L’archipel d’or tout au bout de la mer ?
Nostalgie empreinte d’un vague à l’âme…. Celui d’un spleen…. Un chagrin assumé….Dont les effluves ont néanmoins une odeur de bonheur….
Au-delà des mots…ta toile est aussi superbe.
Mes amitiés
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Bonjour Marie….
Il y a parfois des relations dans lesquelles il ne sert plus à rien de s’y investir…
Et malgré cela…une nostalgie vient nous visiter, celle, sans doute, du souvenir des bons moments.
Tu l’exprimes si bien, dans ce mariage de mots et de toile, toute de bleu ( blues ), comme
je les aime …!
Bonne soirée Marie
En toute amitié
Manouchka
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Clin d’œil d’Auvergne ! Bisous d’amitié. ❤
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Dans cet archipel subtil où la raison ne devrait jamais avoir raison
S’enfuit et revient cette éternelle vague qui nous rappelle
Que le rêve demeure vivant
Tant que l’espérance luit au bout de la mer.
Magnifique tableau éclaboussé de bleu comme j’aime
Je t’embrasse Marie
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Des chemins, une toile et des oppositions, mais cela donne un beau résultat.
Pour s’éloigner, il a fallu être proche et ça, c’est une chose qui reste.
Ah les certitudes… je crois bien que c’est un mot que mon être a banni et qui m’évite bien des déconvenues 😉
Je t’embrasse Marie.
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